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         2012

Le 19 mars 2012.

Le printemps est là, ça pousse. Le mimosa a bien fleuri,
quoique à moitié couché par la tempête.

Situation fin mars - début avril
Les cyclamens du cimetière, offerts par Goulven, sont encore en fleurs. Tout ce petit coin en bordure de rue est devenu agréable à voir et assez facile à entretenir à force d'éliminer liserons, ronces et autres saloperies.
La mise en forme se termine, plus qu'une dizaine de mètres carrés à faire. Deux ilôts potagers au milieu de la pelouse. Des artichauts dans la pelouse, qui donnent des fruits. Un noyer et un prunier. Le long du mur en parpaings les hortensias se portent bien et le cacheront vite. Le long du vieux mur en pierres quelques arbustes dont le beau rhododendron offert par Jean Hervé.
samedi 14 mai, 18:00

Mon poste d'admiration

Etat samedi soir

Le petit carré habituel salades et radis, plus ciboulette, persil, romarin et lavande.

Premier essai de gravier,
pour environ 15 €
mardi 13 juin
Enfin j'ai terminé de préparer mes plates-bandes de potager. Travail de fourmi, très dur, retardé par la pluie. Il ne reste plus que quelques mètres carrés à mettre en gazon, là où est Bébert.
22 juillet. Les potagers deviennent sympas, mais les résultats sont très inégaux. A un endroit ça pousse très bien, juste à coté c'est nul. J'aime bien le mélange de fleurs et de légumes, et l'alignement non rectiligne des plants. Le jeune noyer a sauvé une seule noix sur la douzaine qui étaient formées. Mais je n'ai toujours pas terminé la préparation des derniers mètres carrés !
Le 30 juillet 2012
   11 septembre . Un peu de nettoyage et d'amendement. Semis de radis noirs et plantation de 30 scarolles.

16 novembre

La maçonnerie est un travail fatigant, surtout quand il faut manipuler plusieurs pierres avant de trouver la bonne.

J'ai commencé à consolider un mur qui s'effondrait et à garnir de moellons le mur voisin en parpaings très moches.

Le mur de pierres avance tout doucement .


LE MUR ! Le plus moche dans mon environnement c'est les clôtures. La pire c'est avec mon voisin coté Est, un tas de cailloux colonisé par le chiendent. J'avais pensé à un mur cimenté que j'aurais fait construire. Comme je n'ai pas l'argent et que je suis nul en maçonnerie je me suis décidé pour un mur en pierres sèches. Je ne pourrai pas monter bien haut, mais cela transformera un tas informe en muret plus esthétique. Mais quel boulot ! Le plus dur a été de déménager tout le tas en arrachant le chiendent et les ronces. Ensuite c'est de la patience pour faire une sorte de puzzle. Mais attention aux lombaires, certaines pièces pésent plus de cinquante kilos.

27 mai 2011

27 mai

8 juin

8 juin

10 juin

10 juin

Travail au long cours. commencé en 2011 j'ai fait de longues poses ! Puis j'ai pensé à compléter par une palissade en bois en 2012.
Le voisin a été sympa et m'a permis de mettre les poteaux chez lui. J'avais fait le mur juste à la limoite des propriétés. 
Le 13 septembre j'ai eu le matériel et le travail a été rapidement mené, en deux jours c'était fini.

 

15 septembre : à 15 h 30 tout est fini et je pose avec satisfaction devant mon ouvrage. Dernière touche : couper le haut des poteaux et les garnir d'un chapeau. Gros changement. Cela me regonfle pour terminer le mur. Je monterai juste assez pour atteindre la première lame de la palissade. Mais il y a des tonnes de cailloux à manipuler.


  Ce bout de mur en parpaings était vraiment affreux. Ce ne sont pas les cailloux qui manquent, seulement un peu le courage de les trier et transporter .
Pour terminer proprement le coté droit j'ai utilisé une poutre en chêne provenant de la vieille bâtisse. Avant de faire le travail j'ai pu faire une simulation avec Photoshop, qui s'est avérée correcte.

16 novembre


le 8 décembre.


simulation Photoshop

le 9