21 & 22
sep. 2024 :

Voici quelques photos du déménagement.

Mathieu est là et Goulven a pu se libérer pour venir nous prêter main forte. Nous avons un camion-benne du travail de Théo et la fourgonnette de Mathieu. Les garçons sont très efficaces et le déménagement complet est effectué en deux voyages.

Le déménagement des chats au dernier moment est plus folklorique : une fois enfermé dans sa cage, Charlie parvient à s'échapper par un des côtés dont la fermeture a sauté. Il part se réfugier sous une voiture. Croustille est déjà installée dans l'autre cage, plus spacieuse, et attend sagement. Je choisis finalement d'intervertir les cages : Croustille sera plus serrée dans la petite cage qui ferme mal, mais elle au moins ne peut pas sortir par le coin qui est cassé. Charlie est un peu récalcitrant mais on finit par le mettre dans l'autre cage.

Le dimanche, nous débutons l'aménagement de notre petit studio...

15 sep. 2024 :

Fabrication de notre méga-lit ! Théo fabrique une structure en bois qui supportera notre matelas et fera aussi office de meuble de rangement. La structure mesure 110 cm sans le matelas donc nous serons en apesanteur dans notre lit

Mise en place évacuation évier cuisine.

On démarre aussi la construction de notre escalier 4 marches (il y en avait un mais Théo voulait le refaire)
Création du dernier seuil de porte avec des tomettes anciennes. Le résultat est très joli.
Déménagement prévu le week-en prochain !

Installation de l'évier et du mitigeur dans notre meuble de cuisine.

Reprise de la plomberie : mise en service du chauffe-eau, réparation des petites fuites sur certains raccords.

2 sep. 2024 :

Mise en place des étagères. Comme prévu, grosse mascagne. 
Il nous faut 3 équerres par étagère pour que cela soit suffisamment costaud pour supporter le poids de la vaisselle qui sera rangée dessus. Installer trois équerres au même niveau sur un mur en pierre, c'est déjà pas facile. Il y a trois vis sur chaque équerre. Environ une seule des trois vis sur chaque équerre tombe dans une pierre. Ce qui veut dire que les deux autres tombent dans l'enduit à la chaux qui n'est pas suffisamment dur pour retenir les chevilles.
Solution : du scellement chimique. Ça pue, il faut l'utiliser très rapidement car la prise se fait en quelques minutes, mais c'est efficace !!
Autre difficulté : nous avions prévu d'utiliser le surplus des lames de parquet pour faire ces étagères mais on se rend compte qu'elles ne sont pas assez épaisses pour insérer les spots dans l'épaisseur du bois. Donc aller-retour à Leroy Merlin pour acheter un plateau de travail en acacia qui fera office d'étagère (coupé en deux dans le sens de la longueur)

Finalement après un superbe travail de Théo, travail des plateaux à la scie-cloche, mèche à bois, scie circulaire et ciseau à bois, les 4 spots sont encastrés dans la première étagère avec quasiment rien de visible hormis un petit transfo qui doit rester à l'air libre.
Admirez le résultat !!
Passage d'une deuxième puis d'une troisième couche d'huile de lin sur le parquet.
Les montants du meuble de cuisine sont traités au brou de noix pour les foncer.

Etape importante le 4 septembre:
la livraison du poêle à bois ! Notre poêle Victoria est enfin arrivé. Il a pris sa place sur nos jolies tomettes, près de la porte-fenêtre.
Premier petit feu :-)

24 août 2024 :

Ça se précise !

Mise en place des tomettes devant les fenêtres, au niveau de l'emplacement du poêle et seuil de la porte-fenêtre. Petit problème de quantité, avec les découpes, nous n'avons plus assez de tomettes pour le dernier seuil de porte.

Mise en place des plinthes et fermetures des espaces à la chaux. Nous avons opté pour des baguettes quart de rond en guise de plinthes. Les murs en pierre ne sont pas tout à fait droits donc il y a des jours importants à certains endroits entre la baguette et le mur. Théo rebouche à la chaux. Travail minutieux car nous essayons d'en faire tomber le moins possible sur le parquet.

23 août 2024 :

Ponçage du parquet à la main, grain 80 avec une ponceuse à bande pour rattraper les quelques différences de niveau des lames
Puis application d'un primaire fond dur au pinceau, qui permet de protéger le bois et d'éviter aux tanins de remonter. Séchage 48 heures.

Nouveau ponçage au grain 120 puis application d'une première couche d'huile de lin qui vient protéger et nourrir le parquet.

Theo s'attaque à la construction de notre meuble de cuisine, celui qui recevra l'évier. Plan de travail en acacia, montants en résineux.

Installation de la hotte dans le coin cuisine et mise en place test du meuble pour visualiser le futur rendu -:)

3 août 2024 :

Pose du nouveau plancher, enfin ! C'est pas fini, mais c'est bien avancé !

27 juillet 2024 :

       
Le lendemain, pose des moises : de nouvelles petites poutres de 5 cm d'épaisseur sont vissées de part et d'autre des anciennes lambourdes. Mise à niveau avec laser et cordeaux. Le nouveau plancher sera posé sur les nouveaux bois, les anciens bois ne serviront que pour la structure.

1 juillet 2024 :

Gros boulot abattu ce week-end.

Gros travail de rattrapage des murs dans le sas (la petite portion de couloir qui mène de la maison au studio) : les murs en brique et plâtre étaient très abîmés et il manquait beaucoup de matière pour récupérer des murs droits. Le samedi, Théo a enduit jusqu'à obtenir un droit et le dimanche il a passé un enduit de finition lissé coloré (beige). La couleur définitive ne sera obtenue que d'ici quelques jours.

- Nous avons rejointoyé tout autour de l'entrée du studio, donc le troisième mur est terminé

24 juin 2024 :

Dans le studio : collage des tomettes sur les marches et des carreaux de ciment sur les deux contremarches.
Théo fait un test pour l'enduit de finition du mur du fond du studio.

Phyto-épuration : on continue de rejointoyer les murs extérieurs et intérieurs des deux bassins. Ne reste plus qu'un seul petit mur !

9 juin 2024 :

Nous sommes en train de refaire les deux marches en béton qui permettent, depuis l'intérieur de la maison, d'accéder au studio. Le dessus des marches sera en vieilles tomettes rouges (achetées d'occasion) et les contremarches seront en carreaux de ciment (neufs)

On s'occupe du troisième mur de notre studio. Comme d'habitude, on prépare d'abord notre mélange, qu'on applique en couche moyennement épaisse sur toute la surface du mur. Ensuite il faut attendre quelques heures que la chaux commence à saisir puis on enlève le surplus avec le côté de la truelle jusqu'à atteindre les pierres. Enfin, on vient gratter les pierres et les joints à la brosse métallique.
Le 4ème et dernier mur du studio sera enduit complètement.

Avec l'excédent d'enduit, Théo et Mathieu ont décidé de réserver le même traitement aux bassins de phyto-épuration et de gratter pour faire ressortir les pierres. Cela donne un aspect beaucoup plus fini aux bassins.

1^er juin 2024 :

On s'attaque au deuxième pan de mur de notre studio
Test lait de chaux : Magali trouvait les murs encore trop jaunes donc on fait un test avec de la chaux plus ou moins diluée pour voir si le rendu pourrait nous plaire

Dans le studio, nous démarrons le rejointoiement des murs avec un enduit à la chaux. Malheureusement, le résultat après grattage ne satisfait pas du tout Théo : trop jaune, trop granuleux... nous stoppons ce chantier pour le moment, le temps de trouver une solution.

Dans la buanderie, nous mettons en place le polyane et le treillis métallique. Nous sommes prêts pour le coulage de la dalle
(prévu vendredi prochain !!)

Nous voulions garder les murs en pierres apparentes mais finalement nous allons être obligés, au moins sur le mur que nous avons commencé à enduire, de les enduire complètement. Tant pis pour les pierres apparentes, l'enduit à la chaux ce sera bien aussi, si on en trouve un suffisamment blanc et lisse.

8 - 12 mai :

1 & 2 mai 2024 :

Samedi et dimanche : repos

28 avril 2024 :

Samedi : travail dans la maison de Mathieu et Lili
Dimanche : on termine de monter le dernier côté du premier bassin puis coffrage, coulage de la chaux et pose des couvertines. 
Lundi soir, on viendra retirer le coffrage et gratter les joints.

22 avril 2024 :

Travail exclusivement sur la phyto-épuration. Nous voulons la terminer en deux week-end pour pouvoir faire le travail de terrassement, autour des bassins de phyto, pendant les ponts de début mai.

On démarre sur le deuxième bassin, qui est terminé depuis plusieurs mois, par un coffrage. Ensuite on vient couler de la chaux et poser les couvertines sur le coffrage au contact de la chaux.

Sur le premier bassin, Théo reprend du service à la truelle : il faut remonter les 4 pans de mur jusqu'au niveau final. Le travail avance bien plus rapidement que lorsque Ludo et Magali étaient seuls à travailler : l'expérience de Théo fait la différence ! En fin de journée, trois pans de mur sont terminés ; il ne restera qu'un seul mur à remonter avant de pouvoir coffrer et poser les couvertines.

15 avril 2024 :

7 avril 2024 :

Gros boulot abattu ce week-end !

Électricité :

Perçage du mur à l'endroit des futures prises de courant extérieures et de la lampe extérieure (qui éclairera la future terrasse et la porte) 
Creusement des joints pour passage des gaines et mise en place des câbles électriques.

Toiture : 
Démontage des plaques de toit du studio.
Double couche d'isolation (laine de verre et tissus recyclés / laine de roche autour du conduit de cheminée)
Mise en place de l'ATI (isolant thermoréflecteur étanche)
Mise en place des contre-lattes et des nouvelles plaques de toit (fibrociment)

Puis grand nettoyage de chantier : on récupère tous les cartons et plastiques d'emballage de l'isolation, on fait un coup de propre dans le studio, on vide les deux jauges (sable mouillé) de la cave. Le sable nous sert à commencer de remblayer les tranchées sous le studio (arrivées d'eau et évacuations).

9 & 10 mars 2024 :

Mise en place de la bâche de protection sur le mur en terre crue. 

Nous trions les tuiles (gravats), le bois et la pierre. Après une journée physiquement éprouvante, le résultat est déjà très satisfaisant. Nous avons dégagé un passage pour pouvoir circuler et fait trois tas avec les différents matériaux. Le bois servira de bois de chauffage ou sera réutilisé s'il est en bon état, la tuile sera jetée à la déchèterie et les pierres serviront à reconstruire le mur écroulé. Le bois en mauvais état sera brûlé sur place.

Dimanche : Mathieu et Théo étayent la charpente de la maison. Ludo et Magali continuent à travailler sur les murets en pierre de la phyto.

Le week-end prochain, il est prévu de bâcher le mur en terre crue.

26 février 2024 :

La charpente de la grange s'est finalement effondrée dimanche soir, environ une demie heure après le départ de Mathieu et Théo. Notre voisine nous a prévenus lundi matin.
Une partie du mur extérieur de la grange s'est aussi écroulé. Le résultat est très impressionnant, on dirait qu'une bombe a détruit notre maison.
En réalité, la maison elle-même ne semble pas avoir été touchée. 
Il va falloir protéger le mur en terre crue qui est maintenant à la merci des éléments, et étayer la charpente de la maison pour éviter qu'elle ne s'affaisse si le mur se détériore. Et bien sûr, il va falloir évacuer tous les gravats. Un gros boulot en perspective.

24 & 25 février 2024 : :

Vidéo

17 février 2024 :

11 février 2024 :

Nous avons attaqué plusieurs chantiers sans les avoir terminés :
- le montage des murets de la phyto-épuration : non urgent, il nous faudra un peu de main d'oeuvre pour enfin terminer ce chantier
- l'électricité : nous avons bien avancé sur ce poste mais il nous reste à installer l'élec extérieur (lampe extérieure pour éclairer la terrasse et prises de courant extérieures) et bien sûr, le nouveau tableau électrique 
- le plafond : normalement, c'est le chantier du week-end prochain, poser le lambris
- la plantation des arbres et arbustes : seulement 80 plantés sur 236 au total. Encore un week-end complet de travail pour terminer de tout planter.
- la buanderie : il nous faudra louer une mini-pelle pour terminer le remplissage de la buanderie, puis une toupie devra couler une chape béton
- enfin, il faudra s'occuper rapidement du morceau de toit restant de la grange, qui est en train de s'effondrer.

3 & 4 février 2024 :

Mise en place de la structure du plafond : deux arbalétriers viennent renforcer la structure existante qui ne plaisait pas à Théo.
Les petites solives accueilleront le plafond qui sera en volige peuplier (bois très clair).

17 décembre :

Deuxième week-end d'électricité. 

10 décembre :

Aidés de Goulven et de Ludo, le frère de Magali, nous nous attaquons à l'électricité. Première étape : creuser les trous qui serviront à insérer les boîtes à maçonner. Ensuite il faut creuser des saignées pour faire passer les câbles électriques. On utilise les joints entre les pierres pour faire passer les gaines.
En un week-end, nous réussissons à tout terminer (sauf les deux prises et la lumière extérieure). Nous avons positionné nos boîtes de dérivation dans le vide sous le studio. 

Prochaines étapes : plâtrer le tout pour figer l'installation, connecter les câbles dans les boîtes de dérivation et les renvoyer vers le tableau électrique, prêts à être branchés au nouveau tableau (pas encore installé)

26 novembre :

Reprise des travaux après un mois de pause (nous avons travaillé dans la maison de nos amis Mathieu et Lili)
Samedi : courses à Leroy Merlin pour nos achats d'électricité. Nous souhaitions nous fournir chez un professionnel, mais aucun n'est ouvert le samedi à Montauban. Alors nous voici à nouveau à Leroy Merlin.
Dimanche : difficile de se motiver avec le froid qu'il fait. Nous trouvons le courage d'y aller 2h dans l'après-midi.
Reprise en douceur, mais c'est mieux que rien.

Le chantier des murets de la phyto est à l'arrêt. Nous n'avons pas fini mais il nous manque de la main d'œuvre pour enfin terminer de bâtir.

21 & 22 octobre :

Ce week-end, nous sommes à nouveau aidés par Goulven, nos amis Mathieu et Lili, et François, le frère de Lili.
Reprise du travail sur le second bassin : on termine de monter les murets en pierre. Sur le premier bassin, Théo commence un habillage des parpaings sur le mur qui sera en partie visible.
A la fin du week-end, les murets du second bassin sont terminés, et le travail sur le premier bassin a bien avancé.
Une fois les murets finis, nous installerons une couvertine, probablement en travertin, pour les protéger des intempéries et avoir une finition soignée.
Les deux prochains week-end, nous allons travailler chez Mathieu et Lili, dans leur maison.

10 septembre:

19 au 28 août :

Dimanche 20 août :
Relâche. Journée et soirée à St Antonin avec Goulven et accompagnés de nos amis Mathieu et Lili. Perrine est de retour de sa semaine en Bretagne. Magali casse son petit orteil sur un rocher en allant à la plage du moulin.

Mercredi, jeudi, vendredi 25 août : en échange de 3 jours sur notre chantier, nous offrons trois jours de boulot sur leur chantier à Mathieu et Lili. Donc travail à Lauzerte sur leur maison. Principalement : travail de sablage de murs en pierre et de portes en bois.

Samedi 26 août : 
On commence par remplir la buanderie avec du gros gravier alluvionnaire. Cela permet de continuer à dégager le passage devant la maison (pour mémoire, nous avions fait livrer des tonnes de gravier juste devant la maison, dans le passage qui va à la phyto-épuration, grosse erreur que nous avons payée cher !)
La buanderie est remplie à environ un tiers.

Ensuite on s'attaque au premier bassin de phyto. Première étape, installer les traversées de parois étanches. C'est la partie technique de la phyto. On galère mais on finit par réussir (enfin, on espère que c'est étanche !)
Puis nous déversons 35 cm de gros gravier alluvionnaire. Là, c'est le camion-benne qui décharge directement sur la rampe (rampe modifiée pour l'adapter au camion-benne).
Etape 1 : on remplit le camion-benne avec la mini-pelle
Etape 2 : on benne sur la rampe en bois
Etape 3 : il faut pousser pour que tout tombe dans le bassin
Etape 4 : répartir le gravier dans le bassin, à la pelle et au râteau (cette dernière étape au râteau fait très "jardin zen")

Dimanche 27 août :
Premier bassin de phyto : on passe à la deuxième couche de gravier. Il s'agit de petit gravier alluvionnaire que nous versons par dessus la couche de gros gravier (filtres horizontaux), à nouveau 35 cm.
Deuxième bassin de phyto : nous devons le remplir successivement de 3 graviers différents : gros gravier alluvionnaire, pouzzolane, puis petit gravier (filtres verticaux). Nous préparons des planches de coffrage qui serviront à bien délimiter chaque compartiment. Ces différents filtres permettront à l'eau de ressortir comme neuve... en tout cas débarrassée des impuretés et utilisable au jardin.

Dans le studio, on finit de démonter complètement le plafond du studio et de déposer toutes les solives. Nous avons choisi de démonter complètement le plafond et de le positionner plus haut. Nouvelle estimation d'emménagement : février 2024.
Magali reçoit un échantillon de carrelage pour la buanderie. 

17 août :

10 août :

5 & 6 août :

On coule la ceinture en béton armé du premier bassin. Il ne s'agit pas "simplement" de couler. Il faut d'abord préparer le coffrage en bois, puis préparer l'acier qui permettra de créer du béton armé, ensuite avec un cordex on vient tracer sur le coffrage la hauteur de béton à couler, puis enfin on prépare le béton avec Joséphine et seulement à la fin, on coule.
Le lendemain, on peut enlever le coffrage bois. Le béton n'est pas complètement sec mais suffisamment dur en surface pour qu'on puisse marcher dessus.

22 juillet :

14 & 15 juillet:

Vidéo

Travail très physique : pour chaque cycle de bétonnière, il faut 5 seaux de sable + un sac de ciment (35 kg) + deux seaux d'eau + à nouveau 5 seaux de sable.

Au bout de trois jours, les fondations des deux bassins sont coulées et la première rangée de parpaings du premier bassin est posée.

1er & 2 juillet :

24 & 25 juin :

Premier week-end de chaleur en ce début d'été. Nous avons choisi de déplacer le gravier à la main, à la dure, mais avec l'aide de nos amis Mathieu et Lili.
13.5 tonnes à déplacer ! Nous formons deux équipes : les garçons remplissent les seaux à l'aide de pelles et les filles les déversent dans la benne du camion. Quand le camion est plein, on va benner en haut du terrain.
Le matin nous ne faisons que 2 rotations, mais 4 rotations l'après-midi, sous un soleil de plomb (30° à l'ombre). Nous faisons des pauses régulières à l'ombre pour nous hydrater. Les garçons ont tombé le t-shirt et prennent des coups de soleil. Les filles ont gardé le t-shirt et ce sont enduit les bras de boue pour se protéger du soleil.

A la fin de la journée, l'énorme tas n'est plus qu'un souvenir. Il doit rester environ 2 tonnes à déplacer et nous avons dégagé un passage près de la maison.

10 & 11 juin :

Voici le récap des travaux de ce week-end.

Location de la mini-pelle ce week-end. Théo s'attèle au deuxième bassin, toujours équipé du BRH. En fin de week-end, il reste très peu de travail sur les bassins : Théo a quasiment terminé le second bassin.

13 au 21 mai :

Vue depuis le jardin

Première étape : enlever les souches des lauriers de l'ancienne haie. Nous pensions que ça irait vite... Nous n'avions pas imaginé que des monstres se cachaient sous la terre !! Certaines racines sont énormes, de la taille d'un petit tronc... Avec sa mini-pelle, Théo a l'air de se bagarrer avec des monstres extraterrestres ! Le travail dure une demi-journée seulement pour sortir toutes les souches.
Ensuite, il faut creuser. Théo maîtrise la mini-pelle en un rien de temps... privilège du travail de chantier et de la conduite d'engins. La terre est meuble et Théo creuse facilement... au début.

C'est un gros marteau-piqueur qui se branche sur la mini-pelle. 
Après 7 jours de travail, le premier bassin est quasiment terminé (il reste juste une petite bosse à casser) et le deuxième bassin est bien avancé, mais il reste encore du travail, que Théo évalue à deux jours supplémentaires.

29 & 30 avril :

22 & 23 avril :

Dimanche 16 avril : Collage des tuyaux : première étape de marquage des tuyaux, nettoyage au chiffon puis au White Spirit, et enfin collage avec une colle à prise rapide. Raccordement au réseau existant : en cours.

Lundi 10 avril :

Samedi 1er avril :

Dans la buanderie, nous finissons de décaisser sous l'escalier. Celui-ci n'est plus retenu, en bas, que par un étai.
Démontage de l'évier qui restait encore, et des deux radiateurs à eau. 
Cette partie du chantier est désormais terminée. Théo avait calculé que nous devions sortir approximativement 600 seaux de terre... je pense que nous les avons faits !!!
Sous le studio, le travail sur les évacuations avance aussi. Nous avons creusé la dernière petite tranchée manquante et il ne manque que quelques raccords pour se relier au réseau existant. 
Il nous faut maintenant raccorder le nouveau réseau à l'ancien (pour les évacuations du premier étage) et faire un raccord pour l'évacuation du studio. Ensuite il nous faudra attendre l'intervention du terrassier qui doit venir avec sa pelle mécanique creuser les deux bassins de phyto et la tranchée extérieure.

4 & 5 mars

Après avoir identifié le passage des futurs tuyaux d'évacuation, c'est parti pour le creusement : les tuyaux doivent passer à travers les murs porteurs de la maison, nous avons 3 trous à réaliser. Il nous faut aussi creuser des tranchées pour conduire les eaux usées jusqu'à la phyto. 

Théo s'attaque aux trous avec le marteau-piqueur et Magali aux tranchées avec la pioche.

Nous voulons vérifier que la pente est suffisante pour installer des WC au rez-de-chaussée. 
Nous aurons deux sorties d'eaux usées : la première sortie est la sortie actuelle, qui évacuera les eaux de la salle de bain et des WC du premier étage. Au rez-de-chaussée, nous créons une buanderie et un WC et nous aurons pour eux une sortie séparée. Les deux sorties se rejoindront ensuite sous le studio actuel et un seul conduit ira se déverser dans la phyto-épuration.
Tentative avec un niveau à eau (tuyau de 25m raccordé à deux biberons gradués) : échec total !! L'eau fuit à la jonction tuyau/biberons et après 1h à batailler, nous abandonnons.
Finalement Théo se résout à utiliser le laser pour vérifier les niveaux : a priori c'est OK pour la pente, nous n'aurons pas de problème ! (nous utilisons la pente naturelle du terrain, côté Est)
La phyto-épuration doit se trouver à au moins 5 mètres de la maison. Ça tombe, côté Est, sur une haie de lauriers... que nous allons donc tronçonner !

Opération sablage terminée. Nous avons loué la sableuse et le compresseur chez un autre fournisseur et nous sommes très contents : il est un tout petit peu plus cher mais il est plus proche de la maison et surtout son matériel est de bien meilleure qualité. Pas de problème de valve et de tuyau bouché cette fois-ci, ça dépote !!! Scaphandre obligatoire car la pression est importante, mais avec une petite arrivée d'air à l'intérieur, c'est confortable.sablage terminé,

Magali a participé au sablage. Elle a même sablé une petite partie du plancher en voulant sabler les dernières pierres au ras du sol

19 février 2023

Théo est contrarié car il pensait avoir fini de sabler en un seul week-end. Il nous faudra relouer la sableuse et le compresseur le week-end prochain.

12 février 2023

5 février 2023

Ce week-end, nous avons un coup de main de nos amis Mathieu et Lili qui viennent nous aider dans nos travaux avant que nous leur rendions la pareille : ils sont également en train d'acheter une maison à retaper !

28 janvier 2023

Théo continue à creuser dans la buanderie. Il avance bien. On va pouvoir commander le gravier qu'on va installer sous notre dalle béton.

21 janvier 2023

14 janvier 2023

Grosse émotion en arrivant à la maison ce samedi matin : une partie des fenêtres ont été posées !!! Nous avons fait appel à un menuisier local, qui travaille uniquement le bois. Les menuiseries sont en chêne, peintes en vert foncé à l'extérieur, laissées brutes à l'intérieur. A nous de faire la finition intérieure.

7 et 8 janvier 2023

Le 8, création d'une porte à la place d'une fenêtre. Magali y tenait absolument afin de créer une ouverture côté jardin. Démolition du cadre de la fenêtre, dépose des briquettes au marteau-piqueur, découpe des briquettes de l'encadrement à la meuleuse. 
La porte sera étroite, mais elle permettra d'apporter de la lumière et d'avoir une sortie directe sur le jardin... enfin, quand nous aurons un escalier !

      11 novembre

une bétonnière professionnelle
électrique de 250 litres,

20 étais, des poutrelles d'étaiement,
une palette de chaux,
et 12 tonnes de sable.

Aujourd’hui nous nous attaquons aux solives de l’étable.
Manu, un collègue de travail me rejoint avec sa tronçonneuse.
En l’attendant, je commence à étayer les endroits où la charpente porte.

On supporte les solives par des étais:
pendant que Manu coupe, je maintiens la solive et l'empêche de basculer.
Une fois coupé de chaque côté, on se met à deux pour la faire tomber gentiment au sol.

Magali commence à démolir le mur pendant que je retire tous les bois restants. Tous les box de l’étable ont été sortis.
L’entreprise anti- termites va maintenant pouvoir intervenir, rendez-vous le 24 novembre.

La buanderie une fois qu’on y a retiré le vieux lino au sol. Sans surprise, le plancher prisonnier entre la terre battue et le lino étanche s’est mis à pourrir. Une odeur de moisissure et de champignons s’en dégage. Je n’ai pas pensé à prendre le pied de biche au boulot, me voilà donc avec mon marteau et une massette pour démonter le plancher. Magali charge le camion avec les débris. 
Après une demi-journée de boulot, c’est fait ! Tous les bois ont été retirés (plancher et placards). Maintenant, il faut décaisser environ 30 cm de terre pour pouvoir couler une dalle béton.

Aidés par le voisin, nous avons fait tomber les deux vieilles portes de la grange.
Eh hop, c’est ça de fait !
Ces grandes portes ne nous embêteront plus !! 

Le déblaiement est terminé. Nous avons quasiment fini de démonter l'étable. A présent on peut voir le ciel depuis l'étable. C'était un gros travail, nous sommes très contents d'avoir achevé ce premier travail. Les vieilles poutres de l'étable soutenaient un plancher complètement imbibé d'eau et donc extrêmement friable. Nous avons dû installer des planches d'échafaudage pour enlever le plancher sans marcher dessus. Des tonnes de gravats et de vieilles planches pesaient lourdement sur ces poutres. Les voilà soulagées !
Prochaines étapes : étayer le mur en terre crue puis supprimer ces poutres.
Dans la cuisine, qui sera la future buanderie, Magali a retiré les deux couches de lino. Le plancher est, ici aussi, friable par endroits car humide. La terre se trouve à 10 à 15 cm en-dessous du plancher. C'est dans cette pièce qu'une suspicion de termites a été détectée.
Prochaines étapes dans cette pièce :
retirer tout le plancher, puis décaisser 30 à 40 cm de terre pour pouvoir couler une chape.

La maison et la grange sont en fait deux bâtiments mitoyens qui partagent un mur commun. Les anciens propriétaires ont fait tomber la charpente de la grange il y a quelques années, car elle était en mauvais état et dangereuse.
Le mur entre la grange et la maison est en terre crue, a pris l’eau pendant plusieurs années, il est donc en piteux état. 
Notre projet est de faire une extension sur la partie étable de la grange, on pourra ainsi faire tomber le mur en terre crue et créer un nouveau pignon avec beaucoup d’ouvertures.

Nous devons tout d’abord faire intervenir une entreprise anti termites car une “suspicion” de traces de termites aurait ete detecté lors des diagnostics de la vente. Ces frais sont à la charge du vendeur et toute notre maison sera traité. L’entreprise en question m’a demandé de vidé la grange et l’étable, de démonter l’étable, car ces espaces sont jugés dangereux pour intervenir. C’est donc notre première mission.

    
Je tends la bâche au mieux et je l'agrafe sur le 2ème liteau.